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16 avril 2008
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Un titre de film à trouver...
Perdu, JoeY ! Il ne sagit pas de Quai des Orfèvres (Clouzot, 1947)
mais de 36 Quai des Orfèvres (Marchal, 2004).
Je plaisante...;-)
M.T. Perdu, JoeY ! Il ne sagit pas de Quai des Orfèvres (Clouzot, 1947)
mais de 36 Quai des Orfèvres (Marchal, 2004).
Je plaisante...;-)
Mon commentaire
Gérard Depardieu frappe à la porte d'Auteuil. Comme l'histoire se passe au 36 Quai des Orfèvres, fatalement Depardieu est complétement à l'ouest. C'est le début d'une méprise tragique : un panier de crabes dans la maison poulaga, voilà de manière concise le résumé de ce film. Comme à son habitude, Depardieu est d'une sobriété qui rendrait jalouse une caravane de chameaux et Daniel Auteuil la joue fine, façon Louis de Finesse. Au final ,un film solide, montrant la police française sous un angle qui donnerait envie de s'expatrier au Français moyen le plus sédentaire.
Gérard Depardieu frappe à la porte d'Auteuil. Comme l'histoire se passe au 36 Quai des Orfèvres, fatalement Depardieu est complétement à l'ouest. C'est le début d'une méprise tragique : un panier de crabes dans la maison poulaga, voilà de manière concise le résumé de ce film. Comme à son habitude, Depardieu est d'une sobriété qui rendrait jalouse une caravane de chameaux et Daniel Auteuil la joue fine, façon Louis de Finesse. Au final ,un film solide, montrant la police française sous un angle qui donnerait envie de s'expatrier au Français moyen le plus sédentaire.
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