10 décembre 2007
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Ah ! qu'ils étaient superbes, ces généreux nénés !
Quand il les vit, il ne cessa de les téter,
La poitrine lui fut soumise, subjuguée,
Et c'est pour cet homme qu'elle vécut sans doute :
Tout flotteur vit aux dépends de celui qui les goûte...
Quand il les vit, il ne cessa de les téter,
La poitrine lui fut soumise, subjuguée,
Et c'est pour cet homme qu'elle vécut sans doute :
Tout flotteur vit aux dépends de celui qui les goûte...
Michel Tournon