20 mars 2010
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14:00
Si tout le monde (ou presque) connaît Kean, titre d'une pièce d'Alexandre Dumas, reprise par Jean-Paul Sartre, bien peu connaisse la biographie de ce personnage énigmatique.
D'abord, signalons que son prénom était Marcel, ce qui n'est pas une honte mais quand même. Très tôt, il aima voyager, principalement dans les contrées inexplorées. Un jour, il découvrit une tribu inconnue dont les membres le prirent en amitié : il devint, le copain, l'ami, le pote de tous ces indigènes dont certains étaient récessifs, mais ce n'est pas le sujet.
Kean était émerveillé par la gentillesse de ces "sauvages", avec lesquels il partageait bon nombre de repas plantureux, ce qui malgré ce nom, ne veut pas dire végétariens car la viande y était aussi succulente qu'abondante.
Un jour Kean s'aperçut qu'il s'agissait de cannibales. Trop tard, il était déjà sous forme de puzzle voisinant avec oignons et feuille de laurier dans une énorme marmite qui bouillait sur le feu. Les indigènes savaient que Kean était assez mou voire tendre de son vivant, alors, ils pensèrent que la mollesse Kean leur assurerait une cuisson rapide et donc un repas vite préparé.
Que nenni : ils ne savaient pas qu'il faut faire cuire assez le pote M. Kean !
Et quand un indigène eut mangé le nez, il se mit à chanter : "Ce soir, j'aime la narine, pote M. Kean..."
Bon, j'arrête là, les hommages à Jean Ferrat, ça me gonfle...
Michel Tournon
D'abord, signalons que son prénom était Marcel, ce qui n'est pas une honte mais quand même. Très tôt, il aima voyager, principalement dans les contrées inexplorées. Un jour, il découvrit une tribu inconnue dont les membres le prirent en amitié : il devint, le copain, l'ami, le pote de tous ces indigènes dont certains étaient récessifs, mais ce n'est pas le sujet.
Kean était émerveillé par la gentillesse de ces "sauvages", avec lesquels il partageait bon nombre de repas plantureux, ce qui malgré ce nom, ne veut pas dire végétariens car la viande y était aussi succulente qu'abondante.
Un jour Kean s'aperçut qu'il s'agissait de cannibales. Trop tard, il était déjà sous forme de puzzle voisinant avec oignons et feuille de laurier dans une énorme marmite qui bouillait sur le feu. Les indigènes savaient que Kean était assez mou voire tendre de son vivant, alors, ils pensèrent que la mollesse Kean leur assurerait une cuisson rapide et donc un repas vite préparé.
Que nenni : ils ne savaient pas qu'il faut faire cuire assez le pote M. Kean !
Et quand un indigène eut mangé le nez, il se mit à chanter : "Ce soir, j'aime la narine, pote M. Kean..."
Bon, j'arrête là, les hommages à Jean Ferrat, ça me gonfle...
Michel Tournon