10 juillet 2008
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Bravo Jo, il s'agit bien de Les Canons de Navarone,
Mon commentaire
C’était un de mes films préférés, avec La grande Evasion, dans les années soixante. En fait, il s’agit de films d’aventure se déroulant dans un contexte de guerre. De l’action, du suspense, mais aussi de l’amour, vantaient les bandes annonces.
Dans Les canons, le commando doit faire sauter deux énormes canons teutons, qu’à côté la Grosse Bertha ressemblait à un pistolet à eau. David Niven pose une charge de dynamite qui doit exploser lorsqu’un ascenseur est à son niveau le plus bas. La scène est haletante car on voit à plusieurs reprisse la cabine qui ne s’approche pas suffisamment de l’explosif pour le faire sauter. C’est vrai qu’il y a des hauts et des bas dans la vie d’un ascenseur et le spectateur scotché allume virtuellement un cierge pour Saint Roux et Saint Combalusier !
Côté glamour, on trouve Irène Papas : sa tronche est plus tragique que les œuvres d’Eschyle, Sophocle et Euripide réunies. Et bien sûr, on retrouve Anthony Queen dans le rôle du régional de l’étape, mal dégrossi.
M.T.
9 juillet 2008
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M.T.
17 avril 2008
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Un fragment d'affiche, un film à trouver...
Un fragment un peu plus grand...
Oui, il s'agit de Les Parapluies de Cherbourg...
Mon commentaire
C'est une comédie musicale qui fait rien qu'à copier Chantons sous la Pluie, démontrant à nouveau que là où il y le Gene, il n'y a pas de Kelly ! En plus, le titre laisse à penser qu'il pleut en Normandie, en particulier dans la Manche, alors que l'on sait bien que les aventures de Don Quichotte de la Manche se situent dans un pays chaud, si chaud, d'ailleurs qu'il avait les manches courtes. En tout cas, il y fait plus chaud que dans les Yvelines où l'on trouve les dix manches de Ville d'Avray. Par ailleurs s'il fait vrai manchot, les manches ne servent à rien.
Je m'arrête, sinon je vais vous parler à nouveau des dix longs manches de fiançailles...
M.T.
14 avril 2008
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11 avril 2008
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Un bout d'affiche, un film à trouver...
Deux indices : film américain tiré d'un roman américain.
A partir d'un autre roman du même auteur, Mocky réalisa un film en 1974.
Un autre indice : la vedette, c'est Jane Fonda...
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Bravo Ze Bath, il s'agit bien de
On achève bien les Chevaux !
Mon commentaire
L'histoire se passe en pleine dépression américaine, avant l'invention du Prozac. Le chômage sévit et tous les moyens sont bons pour gagner de l'argent, comme par exemple, participer à un marathon de danse. On offre une grosse récompense au couple réussissant à danser le plus longtemps. Pas de Fonda enchaînée mais une Fonda complétement déchaînée qui roule son cavalier, Michael Sarrazin, dans la farine. Ils gagnent mais ils sont tellement liquides qu'ils sont parrainés par Spontex.
Donc, le titre n'a rien à voir avec l'hippophagie, même si l'on est à cheval sur les principes.
Film tiré d'un roman de Horace Mac Coy, également auteur de Un Linceul n'a pas de poche, mis en scène par Mocky.
Ne pas confondre avec On achève bien l'écheveau, film faisant partie de la saga Pourquoi tant de laine ?
Michel Tournon
9 avril 2008
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Un bout d'affiche, un titre de film à trouver...
Un indice : les deux visages appartiennent à des acteurs français très connus.
L'un des deux (celui situé à droite) est mort en 1987.
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Bravo Marcel ! Il s'agit en effet de Cent mille dollars au soleil,
avec Belmondo et Ventura.
Mon commentaire
Du rififi chez les camionneurs dans le Sahara ; du sable, du désert, de la poussière. C'est tout juste si Lawrence d'Arabie, Charles de Foucault ou René Caillé n'apparaissent pas comme figurants ! Pour ce dernier, pas étonnant qu'il fut le premier occidental à entrer dans Tombouctou : avec un nom comme ça, il ne souffrait pas de la chaleur !
Un des camions est censé contenir de la marchandise à hauteur de 100000 dollars, à une époque où la valeur de cette monnaie était au firmament de la bourse, comme on dit dans les films pornos.
Bernard Blier est génial dans le rôle du camionneur qui dépanne régulièrement le camion de Ventura.
Un film sympa, à voir et à revoir, notamment pour Belmondo, Ventura et Blier. Quand je pense que la relève s'appelle Canet, Duris ou Cornillac, je fonds en larmes.
Michel Tournon
8 avril 2008
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Un bout d'affiche, un titre à trouver...
Oui, Jo le Luma, il s'agit de L'aile ou la cuisse. 
Mon commentaire
Personnellement, je préfère le croupion. Sinon, la cuisse sauce porte-jarretelle, je ne dis pas non.
Je crois que je n'avais pas vraiment aimé ce film. Certainement parce qu'il était décevant de voir Coluche, le rebelle, tourner dans un film "commercial", avec De Funès (que j'apprécie parfois, par ailleurs). Mais bon, il faut bien payer ses impôts. C'est comme Jean Richard à la fin de sa vie : il ne lui restait plus que l'impôt sur les zoos.
Michel Tournon
8 avril 2008
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Un bout d'affiche, un film (très connu) à trouver :
Marcel est déchaîné : à nouveau bravo, il s'agit bien de Le Magicien d'Oz !
Mon commentaire
A ne pas confondre avec Le Pharmacien dose. Sérieusement, c'est un chef-d'oeuvre, devenu film culte. Judy Garland est magnifique et représente à elle seule toutes les circonstances atténuantes justifiant la pédophilie. Quant à son chien, qu'elle tente de retrouver, c'est la justification de la zoophilie.
On voit par là que la distance entre le film culte et le film de cul est aussi mince que la conscience d'un agent immobilier.
Michel Tournon
2 mars 2008
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Published by Ze Bath Leurre
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dans
Affiches de Film
2 mars 2008
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06:16
Published by Ze Bath Leurre
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dans
Affiches de Film
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