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21 mai 2002 2 21 /05 /mai /2002 02:03

3790

 

De :   Ze Bath Leurre 

Date :  Mardi 21, Mai 2002  3:03

Objet :  Re: [CirqueZavatars] en pensant à LLEE MMAATT

 

Ze Bath Leurre a écrit :

> Nous avons, si je ne m'abuse, quelques archives Zavatarsiennes de ce

> genre...

> de LLEE MMAATT, justement, d'ARdN, et ptêt de mézigue...

 

Ah j'ai retrouvé celle de ... mézigue ! c'est là : zavatarchive 415

 

Mais, permettez moi de vous l'envoyer directement sur le Cirque :

 

De : Ze Bath Leurre

Date : Samedi 19, Mai 2001 10:54

Objet : Re: [amirimage] Eau rage ( faim ) - impression, images vécues

 

Hors âge

Ode des espoirs

Eau,

vieil essai de mie,

Neige,

temps vécu,

queue bourre,

c'est un fa ... mi ?

 

haineux suis-je

blanc chie dans l'étrave

veau guerrier

queue bourre

vois rang nain

joue reflet

tri retend deux Laure

yeah !

 

Ze Bath Laure

 

+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.

Bah ! ça avait une certaine allure !!! Je me demande si je serai capable de

faire pire !!

 

Ze Bath Leurre

>

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21 mai 2002 2 21 /05 /mai /2002 01:35

De :   Ze Bath Leurre

Date :  Mardi 21, Mai 2002  2:35

Objet :  CONCOURS - 3è quatrain

 

Cher(e)s Zavatar(e)s,

 

Le concours de prêt-à-rimer-à-suivre continue !

Nous voici arrivés au 3è quatrain !

 

Pour continuer à participer -- ou prendre le train en marche pour une une

première participation ! -- ou encore re-prendre le concours après un break

-- rien de plus facile !

 

1) choisissez une (ou plusieurs !) des 18 compositions de la liste ci-dessous

(*)

[vous remarquerez au passage combien notre Zavatar LLEE MMAATT a été inspiré

!!! chapeau l'artiste !]

 

2) vous composez une suite : c'est à dire le quatrain suivant, en utilisant

les rimes que voilà :

. . . . . . . . . . . couvert

. . . . . . . . . . . verdure

. . . . . . . . . . . vert

. . . . . . . . . . . sépulture

 

... et n'oubliez pas que j'accepte les copies jusqu'à mercredi soir minuit,

cachet d'aspirine faisant foi !

à vos claviers et à vos neurones... après avoir fait votre choix :

 

Liste des compositions des deux premiers quatrains :

 

1 - 8.1

Lorsqu'on le met dans son tombeau

Sa femme, de ses yeux arrose

D'un bouquet de pleurs, le caveau

Qui se transforme en lit de rose. ( Stéphanie )

 

l'entourant tendrement , ses enfants

ses parents ses soeurs et frères

marchent tremblant cheveux dans le vent

avant d'aller s'enfiler une bière. (Audrey)

 

- - -

2 - 6.1

fallait que j'aille sur ton tombeau

un an que t'es mort ça s'arrose

bouteille en main pres d'ton caveau

j'me suis saoulée avec Luc Rose ( Audrey )

 

depuis ta mort j'ai eu un enfant

avec ton cher et tendre frère

merci mon vieux et bon vent

allez pour toi j'me r'prends une bière (Audrey)

 

- - -

3 - 4.1

Mortecouille! sur mon tombeau

Je veux qu'on crie : "ça s'arrose ! "

Et qu'on scelle mon caveau

Avec des pétales de rose ! ( Kronemb le Blond )

 

Qu'on y amène les enfants

Les inconnus - se sont mes frères

Que leurs entrailles émettent un vent

Il me souviendra de la bière. ( LLEE MMAATT )

 

- - -

4 - 3.1

Depuis que je gis au tombeau,

J'en sais un qui son deuil arrose

Plutôt que fleurir mon caveau :

Son nez s'orne de couperose. ( Claire )

 

S'il s'est fait de nouveaux enfants

Mes petits auront donc des frères ,

Qu'ils viennent au jours de grand vent

Sur ma tombe vider des bières (LLEE MMAATT)

 

- - -

5 - 2.1

Même sur ton propre tombeau

Il faudra que ta vie s´arrose

Car bien à l´ombre du caveau

Je mettrai un bouton de rose ( Luc )

 

Le bouton, de la fleur, l'enfant

Est pour la pierre comme un frère

Lui qui s'agite dans le vent

Parfumera jusqu'à ta bière. (LLEE MMAATT)

 

- - -

6 - 5.1

Rien n'est plus sympa qu'un tombeau

Arrête ces larmes qui l'arrose

Vois la belle fraîcheur d'un caveau

La mort si noire deviendra rose ( Philippe -- Hérédias -- )

 

En nous y ferons un enfant

Puis nous lui donnerons un frère

Pour qu'ils aillent quérir le vent

Et rafraîchir jusqu'à ma bière (LLEE MMAATT)

 

- - -

7 - 6.2

fallait que j'aille sur ton tombeau

un an que t'es mort ça s'arrose

bouteille en main près d'ton caveau

j'me suis saoulée avec Luc Rose (Audrey)

 

Devant toi je m'sens comm'une p'tit' enfant

A qui ont aurait volé l'frère

Et je me tiens droit face au vent

En tétant goulûment ma bière (LLEE MMAATT)

 

- - -

8 - 7.2

Ton beau tombe haut Ô tombeau

Art rose roseau dard arrose

Cave Ô haut dans le caveau

Ose l'art arthrose « heart » rose. ( Stéphanie )

 

Non! faon ne feinte pas l'enfant

fait ré et re fait ré mon frère

Lève en l'élève et en ce vent

L'habit et re-l'habit de bière (LLEE MMAATT)

 

- - -

9 - 8.2

Lorsqu'on le met dans son tombeau

Sa femme, de ses yeux arrose

D'un bouquet de pleurs, le caveau

Qui se transforme en lit de rose. ( Stéphanie )

 

Avec elle ses trois enfants

La belle Blanche et ses deux frères

Dispersent leur pleurs dans le vent

En voyant descendre la bière. (LLEE MMAATT)

 

- - -

10 - 9.1

Ah oui ! tu peux bien faire ton beau !

T'as raison, c'est ton succès qu'on arrose.

Je dois avoir à la cave au

Moins une barrique d'alcool de rose ( Oli.)

 

Des troncs comme ça, des tas j'en fends,

Les bûcherons sont mes confrères

J'en tronçonnais encore plus avant

Du côté de la Cannebière (LLEE MMAATT)

 

- - -

11 - 10.1

Je suis muette comme un tombeau

Mon plaisir c'est quand j'arrose

Les fleurs qu'on trouve dans les caveaux :

Chrysanthèmes, pensées ou roses. ( Valérie )

 

Les plantes sont comme mes enfants

Je les admire comme des frères

Si je ne les garde du vent,

Je leur donne à boire de la bière. (LLEE MMAATT)

 

- - -

12 - 11.1

Je suis venu sur son tombeau

Que la lumière du soir arrose

Donnant à la pierre du caveau

Une teinte de granit rose ( Ze Bath )

 

Je suis venu comme un enfant

Qui va prier dessus son frère

Et qui jette sans s'occuper du vent

D'après suppliques au goût de bière. (LLEE MMAATT)

 

- - -

13 - 1.1

La main coupée, de son tombeau

Ecrit, jette, supplie, arrose

Mais rien ne filtre du caveau

Au delà du grès froid et rose ( LLEE MMAATT )

 

Mais au loin l'entend son enfant

Qui perçoit cette pensée frère

Portée à lui par un grand vent

Amère comme l'est une bière. (LLEE MMAATT)

 

- - -

14 - 11.2

Je suis venu sur son tombeau

Que la lumière du soir arrose

Donnant à la pierre du caveau

Une teinte de granit rose ( Ze Bath )

 

Tu es mort quand j'étais enfant

Mais tu étais aussi mon frère

Je pleure encore dans le vent

Ce maudit jour de mise en bière (Luc)

 

- - -

15 - 10.2

Je suis muette comme un tombeau

Mon plaisir c'est quand j'arrose

Les fleurs qu'on trouve dans les caveaux :

Chrysanthèmes, pensées ou roses. ( Valérie )

 

Alors, mes souvenirs d'enfant

s'envolent légers vers mon frère

Les fleurs s'animent dans le vent

Ombres dansantes sur sa bière. (Hérédias)

 

- - -

16 - 8.3

Lorsqu'on le met dans son tombeau

Sa femme, de ses yeux arrose

D'un bouquet de pleurs, le caveau

Qui se transforme en lit de rose. ( Stéphanie )

 

Rayon de sourire, l'enfant

Tire la langue à son grand frère.

Flairant sous les jupes, le vent

Ravive nos élans de bière. (stephanie)

 

- - -

17 - 7.2

Ton beau tombe haut Ô tombeau

Art rose roseau dard arrose

Cave Ô haut dans le caveau

Ose l'art arthrose « heart » rose. ( Stéphanie )

 

L'an fend en faon défend l'enfant

Frais refaire refrain mon frère

Ventripotent vit père au vent

Bis biai berbère etang de bière (stephanie)

 

- - -

18 - 11.3

Je suis venu sur son tombeau

Que la lumière du soir arrose

Donnant à la pierre du caveau

Une teinte de granit rose ( Ze Bath )

 

Il y avait là un enfant

Qui me ressemblait comme un frère ;

Il disparut dans un coup d' vent !

J'avais pourtant pas bu de bière ! ( Ze Bath )

 

+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.

 

Ze Bath Leurre

> vivement mercredi !!

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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 20:53

De :   Ze Bath Leurre

Date :  Lundi 20, Mai 2002  21:53

Objet :  j' t'ai r'connu, le Samovar !!!

 

Cher(e)s Zavatar(e)s,

Comme d'hab, je reçois la "lettre d'écrits vains" à laquelle je suis abonné,

et qui me tient au courant des activités littéraires de ce "site"

littéraire...

... mais peut-être certains d'entre vos savent-ils de quoi je parle...

 

Toujours est-il que voilà la "newsletter" que j'ai reçu ce soir... enfin,

juste l'extrait qui nous intéresse :

 

Sujet : Librairie d'Ecrits-Vains?

Date : 20/05/2002 16:32:43 Paris, Madrid (heure d'été)

From: abm

To: zebathleurre

 

Bonjour à tous,

à défaut de nouveautés à proprement parler sur le site, je vous invite à

découvrir ou à redécouvrir les auteurs de notre Librairie :

http://www.ecrits-vains.com/librairie/index.htm

 

Vous y trouverez tous ceux qui ont été sélectionnés par l'un ou l'autre des

comités et, après deux ans d'une coupable négligence de ma part, vous y lirez aussi enfin tous ceux qui ont participé aux différents Théma.

Ainsi des auteurs comme

Hervé BAUDOUY

 

...etc...

 

+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.

 

Hervé ? notre Zavatar-Samovar ? c'est bien toi ? !!!

 

Ze Bath Leurre

>

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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 19:28

De : Rolland

Date :  Lundi 20, Mai 2002  20:28

Objet :  Theme: fenêtres - Jean Cocteau

 

L'hôtel

 

La mer veille. Le coq dort.

La rue meurt de la mer. Ile faite en corps noirs.

Fenêtres sur la rue meurent de jalousies.

La chambre avec balcon sans volets sur la mer

Voit les fenêtres sur la mer,

Voile et feux naître sur la mer

Le bal qu'on donne sur la mer.

Le balcon donne sur la mer.

La chambre avec balcon s'envolait sur la mer.

Dans la rue les rats de boue meurent

(le 14 que j'eus y est),

sur la mer les rameurs debout.

La fenêtre devant hait celles des rues ;

Sel de vent, aisselles des rues,

Aux bals du quatorze Juillet.

 

Opéra

 

Jean Cocteau.

 

Amities,

Rolland

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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 19:07

De : Rolland

Date :  Lundi 20, Mai 2002  20:07

Objet :  Theme: Chanson a refrain

 

La Lettone

 

"L'internationale sera le genre humain. . ."

Chantait mon voisin de palier que j'aimais bien

Depuis je cherche la femme d'Est en Ouest

Qui de cette humanité passera le test.

Ma première rencontre fut une Bretonne

Une fesse bretonnante, l'autre autochtone

Mais z'aimais pas ses fesses pincés et puantes

Je préférais une lettonne tolérante.

 

(Refrain)

 

L'est une lettonne qui me plait et m'étonne :

Elle tonne comme une teutonne

Se nippe comme une nippone

Gronde comme la Garonne

Et se donne à tout le monde

Même à des gueules immondes

Qui comme moi chantonnent

Le genre tolérant de la lettone.

 

Au bar, je vis une belle blonde et ma langue . . .

Pendit. Pardi ! Au lieu de faire sept tours dans

Ma bouche elle alla faire un tour dans la sienne.

Jeanne s'arc-bouta comme une bonne Lorraine

Et m'invita à nous lier à vie à l'église

Je lui dis "Allons plutôt mourir à Venise"

"Que nenni!" dit-elle, "l'Italie est puante!"

A ces mots je partis voir l'ami' tolérante

 

((Refrain)

 

L'est une lettonne qui me plait et m'étonne :

Elle tonne comme une teutonne

Se nippe comme une nippone

Gronde comme la Garonne

Et se donne à tout le monde

Même a des gueules immondes

Qui comme moi chantonnent

Le genre tolérant de la lettone.

 

Dans la rue des rosiers, je reluquais Golda

Qui cachait sa beauté près d'une synagogue

Avec un shalom par ci et un os par là

Je pus amadouer ses gardes bouledogues.

Ce fut l'amour fou, moi j'aimais beaucoup son cou

Et elle mon cul mais à la vue de mon bout

Elle cria "faut couper court pour mes parents"

Et je m'enfuis vers d'z yeux lettons et tolérants.

 

(Refrain)

 

L'est une lettonne qui me plait et m'étonne :

Elle tonne comme une teutonne

Se nippe comme une nippone

Gronde comme la Garonne

Et se donne à tout le monde

Même a des gueules immondes

Qui comme moi chantonnent

Le genre tolérant de la lettone.

 

©Rolland Pauzin - 19-05-2002 - Chanson

 

Amities,

Rolland

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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 14:06

   Date : Mon, 20 May 2002 15:06

     De : sulphurea

  Objet : elle préfère l'amour en mer, revu et détourné...pardonnez-la, elle sait ce qu'elle fait :-)

 

 

Original :

- - - - - - 

 

Elle préfère l’amour en mer

 

Elle danse ballance

sur le pont rouillé d'un cargo

elle aime le vent

et tout ce qui porte un drapeau.

Elle sait le nom des petits

et des grands bâteaux.

Elle te dit non

si tu ne l'emmènes pas

sur l'eau....

Elle préfère l'amour en mer.

C'est just' une question de tempo.

Elle rêve d'un long voyage

sur un paqu'bot...

Elle préfère l'amour en mer.

Elle se laisse aller sur les flôts.

La marine en est fière

Cap'tain' Némo...

Babord. Tribord.

Elle danse ballance

entre Grenade et Dominique.

Elle pense vacances.

Devant les vagues du Pacifique.

Elle rêve corsaire.

Entre Cayen' et Bornéo.

Elle crie galère.

Aussitôt qu'elle n'est plus

sur l'eau....

Elle préfère l'amour en mer.

Cest just' une question de tempo.

Elle rêve d'un long voyage

sur un paq'bot ..

Elle préfère l'amour en mer

Elle se laisse aller sur les flôts

La marine en est fière

Cap'tain' Némo...

Babord Tribord

Elle fait du sport

sur le pont mouillé d'un cargo

Elle perd le nord

Dès qu'elle voit passer un radeau

Elle sait le nom

Des petits et des grands bateaux

Elle te dit non

Si tu ne l'emmènes pas sur l'eau....

Elle préfère l'amour en mer

C'est just' un question de tempo

Elle rêve d'un long voyage

sur un paqu'bot...

Elle préfère l'amour en mer

Elle se laisse aller sur les flôts

la marine en est fière

Cap'tain' Némo...

Elle préfère l'amour en mer

C'est just' une question de tempo

Elle rêve d'un long voyage

sur un paqu'bot....

Elle préfère l'amour en mer

Elle se laisse aller sur les flôts

La marine en est fière

Cap'tain' Némo

 

Détournement :

--------------------------------------

Elle sait faire l’amour mon frère

 

Sa langue cadence

Au rythme mouillé d’un slow

Elle aime le gland

Et tout ce qui devient gros

Elle a le fion pour les petits

Et les grands zozos

Elle veut du long

Si tu veux mets-moi-la

Coco

Elle sait faire l’amour mon frère

C’est sûr elle est nympho

Elle fait de longs léchages

Sur l’dos

Elle sait faire l’amour mon frère

Elle se baise à-tire-la-rigo

Sa cramouille sent la bière

O! Miss Clito…

Encore. Plus fort.

Sa langue cadence

Au bout du méat elle t’astique

Elle change variance

Suivant les vits qu’elle astique

Elle sait te faire

Entre ses deux lolos

Une douce affaire

On s’croirait dans son cul

C’est chaud…

Elle sait faire l’amour mon frère

C’est sûr elle est nympho

Elle fait de longs léchages

Sur l’dos

Elle sait faire l’amour mon frère

Elle se baise à-tire-la-rigo

Sa cramouille sent la bière

O! Miss Clito…

Encore. Plus fort.

Elle lèche elle mord

Elle fait de sa bouche un gros O

Elle suce à mort

Et toi tu jouis crescendo

Elle lampe à fond

Du kiki la blanchâtre eau

Elle dit c’est bon

Et toi tu réponds ho ho ho

Elle sait faire l’amour mon frère

C’est sûr elle est nympho

Elle fait de longs léchages

Sur l’dos

Elle sait faire l’amour mon frère

Elle se baise à-tire-la-rigo

Sa cramouille sent la bière

O! Miss Clito…


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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 13:47

De :  Epicurienne

Date :  Lundi 20, Mai 2002  14:47

Objet :  Re: [CirqueZavatars] Audrey toujours

 

lodfred a écrit :

> Où est tu, Reine des Qui-me-suit?

> Un vide, le noir, sans toi : la nuit.

>

> Et moi je me morfonds, seul, pleurant

> Si tu es là, réponds, je me sens impotent

> Traînant mes guêtres, je m'en vais, mourant.

>

> Tu le crois pas, d'accord c'est pas vrai

> Une fois encore ce soir, j'aurais voulu

> me marrer.

>

> Lodfred.

>

 

Désolée de n'avoir pas pu continuer hier soir dans vos délires messieurs mais l'épicurienne du cirque n'a pas beaucoup de temps en ce moment ! En tout cas je me suis bien marrée en lisant tous les mails, surtout ceux de monsieur Maus voilà un petit rigolo, j'adore ça !!!

 

Bisous

Audrey

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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 10:47

  Date : Mon, 20 May 2002 11:47    

     De : lodfred   

  Objet : Re: Merchi... bien !

 

--- Luc_rose  a écrit : 

 

> Vive le grand, le mirifique Hérédias

> Du cirque, peut être le futur as. ( Lodfred )

> Réservons-lui un accueil des plus sensass'

> ça mange pas d' pain d' lui cirer les godasses (ZeBath)

> Sympa Ze bath, il tente la rime en "as"

> Ca, Hérédias, c'est pas un accueil de garce (Lodfred)

> Le CirqueZavatars, en effet, est une place

> Où l'accueil n'est jamais trop dégueulasse ( ZeBath)

> Les gens n'y sont pas de givre ni de glace

> Les rimes y fusent et laissent au large les limaces(Lodfred)

> Hérédias, Cher Ami, bienvenue dans la classe

> De la déconne, ici, jamais l'on ne se lasse (zean-louis)

> De ta plume, termine ce poème du ZavatarsPalace

> Et dis nous si tu as apprécié, Ô Hérédias. (Lodfred)

> Ou alors remue ta grande et forte carcasse

> parles haut et fait qu'ici les vers s'outrepassent (Luc)

> Que leur grande beauté émerge de la masse

> Qu'ils perdurent en nous malgré le temps qui passe (zean-louis)

> Vos propos m'ont émus, ils ne sont pas salaces

> J'adore vos mots et ne crierais pas "Grace !" (Hérédias)

> En ce jour moi, le chevalier Hérédias

> Je dépose à vos pieds mon épée et ma cuirasse (Hérédias) 

> (Bling !)

> Putain ! fais attention !... De douleur je grimace

> tu me les a balancés sur la calebasse (zean-louis)

> Ouahouille ! à deux mains je me tiens la face :

> T'as planté ton épée dans ma godasse ( Ze Bath )

> Encore une chance que j'aie pris mon couteau de chasse

> Car il va falloir que ma chausse je découpasse (Luc)

> "Mazette q'elle est dure cette rime en "asse"

> Pour autre rime n'y aurait-il point de place ?"(Lodfred)

> Ce pourrait-il que certain déjà se lassent ?

> Allons réveillez-vous, partez de vos paillasses ! (Luc)

> Oh non mais il faut parfois que rime se passe

> Maintenant, on peut continuer, cette rime est bath (lodfred)

> Ca y est ! j'vous ai retrouvés... à cause des traces

> J'ai mal aux pieds d'avoir marché. Quelqu'un m'les masse ? (zean-louis)

> J'm'y colle mais ôte donc d'abord tes godasses

> Pouah, je veux bien, encore eut-il fallu que tu te les lavasses.  (lodfred)

> car entre les doigts il y a bien de la crasse

> Et les cloches, faut-il que je les pètasse ! (Luc)

> Fais pas ton dégoûté... ce n'est pas de la crasse

> comme je suis tout sucre... c'est de la mélasse (zean louis)

> Ca pour sûr mon Maus, on est des dégueulasses

> Mais pour lui laver les pieds, promis, je serai fugace (lodfred)

> M'entendez-vous me lamenter : « Hélas Hélas...

> Mais ou est donc passé ce sacré Hérédias ? » (zean-louis)

> Auriez-vous donc peur qu'il le filasse ?

> la peur n'est pas un sentiment qu'il faut qu'on lui prêtasse (Luc)

> Cet imparfait nous sort vraiment de la mélasse

> A ce subjonctif, rendons-donc tous grâce (lodfred)

> Bon retournons à nos histoires de classes

> J'attends pour ma part de Maus les interjections basses. (lodfred)

> Pour vos rimes, évitez si possible, les connasse,

> Radasse, groniasse, poufiasse - et même pétasse 

> Conservons à ce texte une certaine classe

> de la vulgarité, n'ouvrons jamais la nasse (zean-louis)

> Il est vrai que certains veulent qu'on y échappiasse

> levons nos verres à ceux qui y oeuvrent sans guerre lasse (Luc)

 

  Oh! à vos interjections je reste de glace

  Moi je suis pour nos jolis mots salasses      (lodfred)

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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 10:45

   Date : Mon, 20 May 2002 11:45    

     De : lodfred

  Objet : A Sulphurea, concurrent

 

    Bien, certains d'entre nous ont été les élus de ce

Monsieur Maus. Au début, je fus agréablement surpris

étant élu le plus con, et puis voilà Jean Louis à qui

l'on donne mille prix, et pire Sulphurea récompensé

pour son oeuvre, alors zut à la fin, je voudrais

savoir qui c'est le Grand Con, et puis moi aussi je

voudrais une sucette à l'anis.

 

             Lodfred, Maus sade. (Il est quand même

sympa d'avoir choisi un surnom comme celui là, c'est

pas mal pour les calembour. Et au fait Ze Bath, tu as

raison, bloque-le, il est devenu ridicule)

 

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20 mai 2002 1 20 /05 /mai /2002 10:34

   Date : Mon, 20 May 2002 11:34

     De : lodfred

  Objet : Dernière attention à M.Maus

 

   Alors, mon type, je suis farpaitement cloué

   Quelle verve, quels mots, Dieu! Que tu es doué

   Sans mentir, si je n'avais aperçu ton nom obscène

   J'aurais cru à Rimbaud, Allais ou Verlaine

   LLEEMMAATT, quelle chance as-tu mon gars

   Ta rime est la meilleure du poème que voici-là

   Faire rimer "doubles" avec "double"

   Ca c'est du talent, de la bonne tambouille

   Allez, je décide aussi de t'ignorer 

   Désolé mais ton truc n'a pas marché.

 

                      Lodfred.

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