Date : Fri, 17 May 2002 21:48    

     De : lodfred

  Objet : Proverbe 2

Quel édifice sublime l’on construisait !

Toute la populace était là, à l’admirer.

L’ultime pièce par une grue arrivait

Afin que le beau monument soit couronné.

Cette clef de voûte allait être enfin posée.

Pour l’apercevoir, les gorges se déployaient

Et les tailleurs tendus des femmes affairées

Creusaient encore un peu plus leur décolletés.

Et, diable, leurs seins à nos yeux apparaissaient

Jusqu’à ce que la pierre soit enfin posée. 

Là, l’édifice né, son sommet bien fixé

Sonnait le glas de nos doux regards indiscrets.

       Morale :

         « Le faîte passé, adieu le sein »

         (de « la fête passée, adieu le saint »)

                          Lodfred.

   Date : Fri, 17 May 2002 21:25

     De : lodfred

  Objet : Proverbe 1

La rumeur avait amplement fait son chemin.

Monsieur avait de vilains petits jeux de mains.

Madame, de fait, s’en trouvant fort mal en point

Alla traiter avec Monsieur le lendemain.

« Que vous touchiez d’autres femmes, cela n’est rien,

Mais le médius, doigt le plus long de votre main

Qu’il ne caresse que mon sexe de catin

Aux autres je laisse le reste de vos mains »

          Morale :

  « Fais que ce doigt là ne vienne que pour moi »

   (de « fais ce que dois, advienne que pourra)

               Lodfred, tireur de cheveux.

3679

    
   Date : Fri, 17 May 2002 19:14
     De : Ze Bath Leurre  
  Objet : n'importe quoi ? ah oui !

Et lodfred renaquissa de ces cendres
Il n'est pas prêt le bougre à se rendre!
Putain le talent paraît à l'instant le surprendre
Voilà qu'il fait des rimes en "endre"(lodfred)

Il vaut mieux que ne paraisse son gendre
sinon au portemanteau, il va le pendre
tel que je le connais ça va le détendre
et à nouveau ce bougre-là va nous surprendre(zean-louis)

Je ne suis pas si haineux que tu le laisses entendre
Je serai plutôt pacifiste, même assez tendre
Mais je me sers des mots pour me défendre
N'est ce pas mieux que d'user de ses membres?(Lodfred)

Certes! avec eux, n'importe qui, tu peux étendre
Du contraire, ô cela, en rien, ne puis prétendre
En attendant je te quitte et je vais m'étendre
Et demain encore, la gueule, vais me fendre (zean-louis)

Tiens ! ça m' rappelle ma belle-mère, à Port-Vendres
Cet été, de sa voix mielleuse : " oh ! mon cher gendre,
Vous êtes vraiment des hommes le plus tendre !
- Belle maman, dites-moi, qu'avez-vous donc à vendre ! " ( Ze Bath )

  Date : Fri, 17 May 2002 17:46     

     De : lodfred

  Objet : Pardon prof !!!

   Pardon professeurs de tous pays, de toutes disciplines. J'ai relu mes proverbiages de la semaine dernière. Après cette relecture, je suis surpris de ne pas avoir reçu des plaintes de votre part. Mes textes, faits trop rapidement, étaient parsemés de fautes. Mon bon Jean-Louis, mon dit-professeur, ce manquement aux règles basiques de l'orthographe méritait bien un blâme. Ne vous souciez guère, je suis déjà bien affligé de cela. Enfin voilà, pardon à tous, je ferai plus attention.

                      Lodfred, fauteur de troubles.

   Date : Fri, 17 May 2002 16:35

     De : jl_bouzou

  Objet : Re : Pardon prof !!!

Pour la peine, vous me réciteras quatre limericks, ô mon Fils.

jean-louis

- - -

C'est ma faute 

C'est ma faute 

C'est ma très grande faute  

d'orthographe 

Voilà comment j'écris 

Giraffe. 

Jacques Prévert, Mea Culpa.