De : Michel
Date :  Jeudi 10, Mai 2001  7:17
Objet :  Re: [CirqueZavatars]

Hello,
Je ne vois pas ce qu'il n'y a pas de "fair play" dans cette plaisanterie
qu'on n'est pas forcé d'apprécier. Je pense que si on mesure l'humour a
l'aune du politiquement correct, il ne reste plus que les blagues Carambar,
et encore...
Parce que force est de constater que l'humour le plus débridé a pour thème
des minorités, des majorités, des idéauxs, la religion,  la sexualité, la
mort...
Bref, si on ne peut plus plaisanter à propos des cocus, des Juifs, des
non-juifs, des gros, des femmes, des maigres, du Rpr, des communistes, des
machos, des homosexuels, de la mort, des français, des colistiers de
CirqueZavatar, et de soi-même etc., où va-t-on ?

Très cordialement à tous,
Michel Tournon

----- Original Message -----
From: Gé
To: <CirqueZavatars@egroups.fr>
Sent: Thursday, May 10, 2001 8:07 AM
Subject: RE: [CirqueZavatars]

Il y a aurait aussi "laissons la scène aux bits tranquilles" pour amateurs
de programmation soft  très hard, "la Seine aux bites tranquilles" pour les
mariniers impénitents, les vrais, les cénobites ne sont-ils pas des
pénitents justement, mais cela me rappelle la bande annonce d'un film de P
Mocky, curé se confessant dans un confesse de rue (monté comme une
pissotière) à un confesse ur virtuel ses fautes ne pouvant venir que de
satan, par ces mots bien enchaînés, "satan m'habite", tous ces jeux de
langage bien rigolot un peu plus fairplay que le renomination du concours
Lépine, tout simplement parce que c'est une femme qui l'a gagné.
Gé

  -----Message d'origine-----
  De : Michel
  Envoyé : mercredi 9 mai 2001 13:28
  À : CirqueZavatars@egroups.fr
  Objet : [CirqueZavatars]

  Bon, un limerick tout frais :

  Il voulut vivre à l'écart de ce monde félé,
  Et vécut un temps comme un simple pestiféré,
  Déçu, il rejoint les cénobites d'à côté.
  Sur la porte du gîte, à l'écart de la ville,
  Ils avaient écrit : « Les cénobites tranquilles ».

  P.S. : j'ai vraiment vu ce panneau affiché sur un pavillon de banlieue il
y
  a quelques années !

  M.