Deux copines discutent :
- Mon mari ne se plaint jamais de ce que je lui sers à manger !
- C'est que tu es un vrai cordon bleu !
- Non, je suis ceinture noire !
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Hilary Zygomat
> ha ha ha !!!
Deux copines discutent :
- Mon mari ne se plaint jamais de ce que je lui sers à manger !
- C'est que tu es un vrai cordon bleu !
- Non, je suis ceinture noire !
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Hilary Zygomat
> ha ha ha !!!
( collection privée )
Connaissez-vous l'histoire de l'eunuque décapité ?
... c'est une histoire qui n'a ni queue ni tête !
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Hilary Zigomat
> ha ha ha !!!
Éléments de mémétique
On ne peut considérer que Blackmore se dresse contre la destructuration originelle de la mémétique qu'en admettant qu'il en systématise la démystification empirique dans son acception hegélienne.
Cependant, il se dresse contre la relation entre platonisme et monogénisme ; la mémétique ne peut ainsi être fondée que sur l'idée de l'indéterminisme.
Nous savons qu'il systématise, par la même, la conception synthétique de la mémétique. Or il en examine l'expression sémiotique dans son acception idéationnelle, c'est pourquoi il donne une signification particulière à la relation entre rigorisme et conscience pour critiquer l'indéterminisme.
C'est dans une finalité similaire qu'on pourrait mettre en doute Dawkins dans son approche déductive de l'indéterminisme afin de supposer le finitisme substantialiste. Par le même raisonnement, on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion rousseauiste du finitisme, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Chomsky donne une signification particulière à la conception rationnelle de la mémétique, et si d'autre part il en rejette l'origine rationnelle dans son acception déductive, c'est donc il restructure la réalité synthétique de la mémétique.
Par le même raisonnement, on peut reprocher à Chomsky son finitisme irrationnel, et on ne saurait reprocher à Blackmore son comparatisme substantialiste, néanmoins, il décortique la réalité déductive de la mémétique.
C'est ainsi qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Dawkins, l'extratemporanéité déductive à une extratemporanéité pour la resituer dans le cadre social qu'elle véhicule la dialectique déductive.
On pourrait, pour conclure, mettre en doute Dawkins dans son approche synthétique de la dialectique du même.
Jean-René Scrippier,
Ex-interné des hôpitaux de Paris
Date: lundi 28 novembre 2005 12:59
De: Ze Bath Leurre
Objet: à tous les temps !
-
Etienne, j'adore ton verbe Belgiciter ! ça me rappelle ce verbe moins connu :
QUATRE-VINGT-ONZER
J'Epinay-sous-Sénart
Tu Bures-sur-Yvette
Il Brétigny-sur-Orge
Nous Verrières-le-Buisson
Vous Ballainvilliers
Ils Corbeil-Essonnes
Ze Bath Leurre
> pas les eaux !
-----Message d'origine-----
BELGICITER :
j'Ostende
tu Tournai
il Liège
nous Mouscron
vous Verviers
ils Bruxelles
De : Ze Bath Leurre
Date : 28 Nov 2005 12:40
Objet : haïku – voilà la question…
Dans le nid douillet
l'imperceptible fêlure --
Naître ou ne pas naître ?
Ze Bath Leurre
> cuit cuit !
I comme Ibis
L’ibis porte ce nom parce qu’il est bon public : ibis toujours les acteurs à la fin d’un spectacle. Autant cette générosité le rend sympathique, autant elle est le reflet d’une débilité mentale non dissimulée, puisque l’on se casse fatalement la gueule en applaudissant quand on ne possède que deux pattes. Vu sous cet angle, l’ibis ressemble beaucoup au shadock. Soyons indulgent avec cet animal dont le développement intellectuel ne semble pas fini : l’homme a mis des millions d’années à devenir homo sapiens, alors qu’il eût été plus rapide de devenir hétéro sapiens.
Comme la plupart des oiseaux, l’ibis peut être porteur de la grippe aviaire. Cependant, on peut le manger quand il est bien cuit. Personnellement, j’adore tremper mon ibis cuit le plus souvent possible, c’est une question d’hygiène. À ce propos, heureusement que la grippe aviaire n’existait pas il y a une cinquantaine d’année, à l’époque d’Édith Piaf : compte tenu du nombre de ses relations amoureuses, la grippe se serait répandue comme une traînée de poudre. Et si en plus elle avait couché avec Robert Merle…
L’ibis est très photogénique, pour cette raison, nous continuerons cette chronique en commentant quelques illustrations :
Michel Tournon