22 mai 2008
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Un titre de film à trouver...
Pas de proposition ? Il s'agit de À l'Ouest, rien de nouveau ("Alouette" pour À l'ouest).
Le roman est plus connu que le film (1930).
Pas de proposition ? Il s'agit de À l'Ouest, rien de nouveau ("Alouette" pour À l'ouest).
Le roman est plus connu que le film (1930).
Mon commentaire.
Le roman de E. M. Remarque raconte les horreurs de la Grande Guerre vues du côté boche. Si c'était si moche, ils auraient mieux fait de rester chez eux, les Fridolins. Heureusement qu'ils ont eu la bonne idée de perdre la suivante et de se faire aider par les Américains pour la reconstruction : cela leur a permis d'être suffisamment riches pour revenir en toute tranquillité, légalement, sous couvert de tourisme. De la sorte, cela leur permet de bouffer leur choucroute arrosée de bière (le désastre de la Bier Manie), quel que soit l'endroit où ils se trouvent. Les autres pays d'Europe ne sont pas épargnés. Comme quoi, échanger son casque contre une casquette, sa vareuse contre un bermuda et son pistolet-mitrailleur contre un parasol, comporte de nombreux avantages.
N.B. : Je tiens ce discours franchement xénophobe, voire raciste, car je suis sûr de l'impunité en m'attaquant aux Teutons, compte-tenu du passé guerrier de leurs parents. Il va de soi que je n'écrirai pas la même chose à propos de Noirs, de Juifs, d'Arabes ou de toute autre minorité colonisée ou opprimée. La liberté de s'exprimer avec humour, même dans les pays démocratiques, est implicitement codifiée : les membres du Djamel Comédie Club proclament haut et fort qu'ils ont droit de se foutre de la gueule des Arabes et des Noirs parce qu'ils sont eux-mêmes Arabes et/ou Noirs.
À quand les histoires de cocus réservées uniquement aux cocus ?
Pourtant, ils devraient être les derniers à être au courant !
Le roman de E. M. Remarque raconte les horreurs de la Grande Guerre vues du côté boche. Si c'était si moche, ils auraient mieux fait de rester chez eux, les Fridolins. Heureusement qu'ils ont eu la bonne idée de perdre la suivante et de se faire aider par les Américains pour la reconstruction : cela leur a permis d'être suffisamment riches pour revenir en toute tranquillité, légalement, sous couvert de tourisme. De la sorte, cela leur permet de bouffer leur choucroute arrosée de bière (le désastre de la Bier Manie), quel que soit l'endroit où ils se trouvent. Les autres pays d'Europe ne sont pas épargnés. Comme quoi, échanger son casque contre une casquette, sa vareuse contre un bermuda et son pistolet-mitrailleur contre un parasol, comporte de nombreux avantages.
N.B. : Je tiens ce discours franchement xénophobe, voire raciste, car je suis sûr de l'impunité en m'attaquant aux Teutons, compte-tenu du passé guerrier de leurs parents. Il va de soi que je n'écrirai pas la même chose à propos de Noirs, de Juifs, d'Arabes ou de toute autre minorité colonisée ou opprimée. La liberté de s'exprimer avec humour, même dans les pays démocratiques, est implicitement codifiée : les membres du Djamel Comédie Club proclament haut et fort qu'ils ont droit de se foutre de la gueule des Arabes et des Noirs parce qu'ils sont eux-mêmes Arabes et/ou Noirs.
À quand les histoires de cocus réservées uniquement aux cocus ?
Pourtant, ils devraient être les derniers à être au courant !
M.T.