15 février 2004
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Date : Sun, 15 Feb 2004 18:07
De : Ze Bath Leurre
Objet : béabasque - puisque Phil à réamorcé l'affaire...
Cher's Zav's,
c'est de Punta Cana, en République Dominicaine (où la vitamine R * est obligatoire ! ), où j'oublie les rigueurs du froid polaire parisien, que je vous écris.
Je vois que Phil a remis au goût du jour le béabasque... alors je me suis dit que, entre deux activités physiques (levage de coude au bar et zyeutage de croupe à la playa) quelques petits jonglages béabasques ne feraient pas de mal :
en voici un en TAT-R :
J'ai connu chez les Tatares
un prestidigitateur
qui m' dit : "Si l' métier t'attire
fonc(e) ! Mais si tu crois qu' t'as tort,
c'est que t'as pas la stature !"
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et un autre en CIT-R :
Cette musique au cithare
est un pass'port pour Cithère
que chaque arpège ainsi tire.
Si tu crois que j'ai si tort,
change alors de tessiture !
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Voilà cher's Zav's, je vous laisse car on m'attend au bar avec une pina-colada !
Ze Bath Leurre
> * la vitamine R ? ... le rhum !
15 février 2004
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05:35
Date : Sun, 15 Feb 2004 05:35
De : phil_lantraupe
Objet : ma Saint-Valentin...
Ma femme étant un morceau de lard
histoire de changer d'air
j'ai cassé ma tirelire
pour ma payer la Laure
une jolie petite roulure.
Phil O'Clac
14 février 2004
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20:11
Date : Sat, 14 Feb 2004 20:11
De : Serge MARLOT
Objet : poème cubain
Quatrain
Il avait l'art de la cibiche
Il savait rouler dans ses doigts
L'herbe qui donne de la joie
Aux miséreux autant qu'aux riches.
Erbanico Havana (1895-1936)
Published by Serge Marlot
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dans
Le Cirque Zavatars - tel quel
13 février 2004
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Date : Fri, 13 Feb 2004 21:25
De : Pat Guenot
Objet : Triste Saint-Valentin
Hello,
un petit poème de circonstance
Amitiés
Pat ibulaire
Triste Saint-Valentin
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Je mets le couvert, les assiettes à dessert,
Pour mon amour et moi.
La nappe de travers, un résidu d'hiver,
Me réduisent aux abois.
Alors je bois
Un petit verre
De ratafia.
Ma vue s'embrouille.
Je fais des nouilles.
Pourvu qu'il aime les pâtes
A la sauce tomate.
Pour composer l'entrée,
J'épluche sans tarder
Quelques carottes,
Une échalote.
Je regarde bouillonner la flotte.
J'enfile prestement mes bottes.
Tant pis pour le festin
De la Saint-Valentin.
Je vais noyer mon cafard
Dans le ventre d'un bar.
Published by Pat Guenot
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dans
Le Cirque Zavatars - tel quel
13 février 2004
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12:13
Date : Fri, 13 Feb 2004 12:13
De : Maria
Objet : Citation
"C'est mon opinion, et je la partage."
(Henri MONNIER, Mémoires de M Joseph Prudhomme)
Et voilà un détournement infini...not finished!
Ze, ton onion est chez la ...???? (impossible à finir!!)
Maria
13 février 2004
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Date : Fri, 13 Feb 2004 01:35
De : Ze Bath Leurre
Objet : Re: Zebath ?
Dans un e-mail daté du 12/02/2004 18:23:21 Paris, Madrid,
Epicurienne a écrit :
> eh dis donc monsieur Zebath
> dis tout de suite que j'suis béte
> que je débite que je débite..
> c'est tes fesses que tu veux que je veux botte
> encore un mot et j'te culbute...
Ah tu proposes qu'on s'ébatte !
Mais gare en moi à la bête :
il paraît que Satan m'habite !
Mais enfin si ça te botte,
alors j'irai droit au but !
Ze Bath Leurre
>
12 février 2004
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23:00
Date : Thu, 12 Feb 2004 23:00
De : Maria
Objet : Poème
Christine Lavant (Autrichienne 1915 - 1973)
Mon sommeil est parti se baigner
Son manteau et ses souliers,
la nuit me les a lancés par la fenêtre,
attachés à une pierre.
Il ne me reste qu'à faire la somnambule,
qu'à aller et venir dans ma chambre
et voir mes yeux se remplir
de l'image de l'eau.
Mon sommeil m'a devancée.
A moi de ranger son manteau de plomb
et ses souliers ardents,
de mâcher le caillou de son dernier rêve,
après quoi je pourrai le suivre.
Mein Schlaf ist ins Wasser gegangen.
Seinen Schlaf und seine Schuhe
hat mir die Nacht durch das Fenster geworfen,
gebunden an einen Stein.
Nun muß ich schlafwandeln gehen,
auf und nieder in meiner Stube,
und meine Augen sich füllen sehen
mit dem Bildnis des Wassers.
Mein Schlaf ist vorausgegangen.
Ich muß noch seinen bleiernden Mantel
und seine glühenden Schuhe abtragen,
muß den Stein seines letzten Traumes zerkauen,
dann darf ich ihm folgen.
(Les Etoiles et la faim - Orphée La Difference)
12 février 2004
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22:38
Date : Thu, 12 Feb 2004 22:38
De : Rolland
Objet : L'imposant Sartre
L'imposant Sartre
Jean Paul Sartre s'etait imposé
En étant posé ou trop osé;
Pourtant les midinettes
Devant sa grosse tête
subissaient d'imposantes nausées.
Rolland Pauzin - 10-2-2004 - Limerick
Amities,
Rolland
12 février 2004
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19:06
Date : Thu, 12 Feb 2004 19:06
De : Maria
Objet : Limerick... bi - li
Il y avait une femme très jalouse
Qui aimait un homme de Toulouse
« C'est toi qui me plaît.. «
Son homme l assurait
« ..donc,relax, you have nothing to loose ! »
Maria
12 février 2004
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/2004
18:54
Date : Thu, 12 Feb 2004 18:54
De : Maria
Objet : Limerick
Il y avait un homme très nerveux
Qui s'arrachait toujours ses cheveux
Un jour il était chauve
Avec un chapeau mauve
Il couvrait sa tête - le malheureux
Maria