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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 22:15

   Date : Fri, 17 May 2002 23:15   

     De : lodfred

  Objet : Re: Proverbe 1 - fouilles Zarchéo !

 

--- Ze Bath Leurre a écrit : > Dans un e-mail

daté du 17/05/2002 21:55

> Date :  Vendredi 2, Novembre 2001  4:18

> Objet :  limerick avec accord parental souhaitable !

> Bon vu l'heure, les enfants sont sûrement au lit ...

> LE PLAISIR FEMININ EST-IL EXIGIBLE ?

> > Dans un lit de princesse avec draps

> > De soie ou sur un triste grabat,

> > Dans le déduit ell(e) quête

> > Les prémic(e)s et requête :

> >"Fais que ce doigt advienn(e), queue pourra !"

> Ze Bath Leurre

> > avec de telles prémisses

> > y a moyen d' conclure 

>     

 

Alors là je dois dire qu'il est bien celui là. Mon

truc sentirait presque le plagiat et pourtant promis

en novembre 2001 je n'étais pas né. Vous me croyez pas

ben tiens demandez à Jean-Louis. Hein pas vrai Jean

Louis qu'avant j'écoutais tellement rien qu'on pouvait

même dire presque que j'existais pas?

 

              Lodfred. 

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 22:06

   Date : Fri, 17 May 2002 23:06

     De : lodfred

  Objet : Re: Ben.... merci

 

--- heredias a écrit : >

j'arrive en catimini

> et on m'acceuille à bras ouvert

> Merchi chers Zavataristes et zavataristeuses...

> J'éspere être dans la grande lignée de ce groupe qui

> m'éclate bcp.

> Et ça fait un moment que je vous lis...

> A bientot...

 

Vive le grand, le mirifique Hérédias

Du cirque, peut être le futur as.

 

          Lodfred.(elle est facile mais bon...)

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 21:38

   Date : Fri, 17 May 2002 22:38      

     De : jbouzou
  Objet : Re : C'est vraiment n'importe quoi !


Et lodfred renaquissa de ces cendres
Il n'est pas prêt le bougre à se rendre!
Putain le talent paraît à l'instant le surprendre
Voilà qu'il fait des rimes en "endre"(lodfred)

Il vaut mieux que ne paraisse son gendre
sinon au portemanteau, il va le pendre
tel que je le connais ça va le détendre
et à nouveau ce bougre-là va nous surprendre(zean-louis)

Je ne suis pas si haineux que tu le laisses entendre
Je serai plutôt pacifiste, même assez tendre
Mais je me sers des mots pour me défendre
N'est ce pas mieux que d'user de ses membres?(Lodfred)


Certes! avec eux, n'importe qui, tu peux étendre
Du contraire, ô cela, en rien, ne puis prétendre
En attendant je te quitte et je vais m'étendre
Et demain encore, la gueule, vais me fendre
(zean-louis)

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 21:21

   Date : Fri, 17 May 2002 22:21      

     De : jbouzou

  Objet : Fantômes

 

Une petite ébauche de sketch

------------------------------------

 

LUMIÈRE PROGRESSIVE

 

(La scène représente des combles. il y a un vieux coffre, une table avec trois chaises. Le tout avec des toiles d'araignées. Sur le devant de la scène, deux fantômes. Ils portent des draps blancs fortement rapiécés, avec deux trous pour les yeux. ils ont des baskets. Chacun d'entre eux, a, attachés à son pied droit, trois boulets avec de très longues chaînes. Les boulets sont rassemblés près de leur pied droit.)

 

FANTÔME 1

(avec un fort accent provençal) Allez vaï, je commence.

 

(Il lance un cochonnet, ramasse un de ses boulets et pointe. Le deuxième fantôme ramasse un boulet. fait mine de tirer, puis reprend sa position, il regarde le premier fantôme en secouant la tête.)

 

FANTÔME 2 

(avec l'accent provençal, aussi) Dis ! tu te pousses un peu, Émile. tu vois pas que tu me gênes.

 

(Le premier fantôme Émile s'écarte un peu. Lorsque le deuxième fantôme s'apprête à tirer, il tape bruyamment du pied gauche par terre puis sifflote, la tête en l'air, en faisant ostensiblement les cornes avec sa main droite...)

 

(en colère) Non ! tu vas pas recommencer ?

 

(Il jette son boulet par terre avec rage et croise ses bras en regardant le fantôme Émile.)

 

Tiens, tu veux que je dise. tu me fais perdre la boule.

 

FANTÔME ÉMILE

Oï, si on peut plus rigoler, Marius.

 

FANTÔME MARIUS

(en colère) Tu pousses le bouchon trop loin, Émile. La première fois. il y a quatre siècles. j'te cache pas que ça m'a beaucoup fait rire. Mais maintenant, ça commence à m'gonfler sérieusement . De toutes façon, avec toi, c'est toujours pareil. dès que Monsieur perd. faut qu'il commence à faire son cinéma. MONSIEUR ÉMILE EST UN MAUVAIS JOUEUR !.

 

FANTÔME ÉMILE

Oh Marius, je plaisante. Ca fait six siècles que je suis ici. je m'ennuie à mourir.

 

(On entend siffloter. Ils se taisent. De la coulisse droite de la scène, entre un troisième fantôme. Il a un drap couleur marron avec une pièce en tartan à hauteur du torse ainsi que des poches (deux devant et deux derrière). Il a un collier de fleurs exotiques autour du cou. Dans la main droite, il tient un boulet enchaîné à son pied droit et dans la gauche une grosse valise pleine d'autocollants de divers pays...)

 

NOUVEAU FANTÔME

(avec la voix d'Eddie Murphy) Salut les mecs !

 

FANTÔME ÉMILE

(s'adressant au fantôme Marius) Vé, qui c'est celui-là ?

 

FANTÔME MARIUS

(intrigué) Aucune idée !

 

NOUVEAU FANTÔME

Alors, ça biche les mecs ? !. Moi, c'est Fortuné !. J'viens pour le remplacement.

 

(Il leur tend la main. Les fantômes Émile et Marius tourne autour de lui, avec méfiance, en l'inspectant. Lui a toujours la main tendue. Le fantôme ÉMILE s'approche.)

 

FANTÔME ÉMILE

(serrant la main au fantôme Fortuné) Salut Fortuné. moi c'est ÉMILE. et lui là. c'est Marius.

 

FANTÔME FORTUNÉ

(enjoué) Enchanté les gars !.

 

(Le fantôme Marius s'approche de Fortuné. Très intrigué il touche son drap.)

 

(riant) Il est chouette, mon linceul, hein ? !.

 

FANTÔME MARIUS

Comment ça se fait que vous êtes marron ?

 

FANTÔME FORTUNÉ

J'étais avocat durant ma vie terrestre.

 

(Il se met à rire . Les deux autres se regardent sans comprendre.)

 

Non ! je plaisante, les mecs. je suis originaire des Îles. alors je suis un peu bronzé.

 

(Il rit encore tout seul.)

 

FANTÔME MARIUS

Votre tenue.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Qu'est-ce qu'elle a ma tenue ? .

 

FANTÔME MARIUS

Votre tenue. elle n'est pas réglementaire. (désignant du doigt ses poches)

C'est quoi, ça ?.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Ben, des poches, mec. t'es aveugle ! ! !

 

FANTÔME MARIUS

On ne vous a pas appris qu'un linceul n'a pas de poche ! ! !

 

(Ils éclatent tous de rire. puis le fantôme Fortuné arrête soudainement de rire. s'approche des deux autres et se met à tourner autour d'eux en les inspectant à son tour. les autres qui se sont arrêté aussi de rire, sont intrigués et en viennent à se regarder mutuellement pour voir ce qui ne va pas.)

 

FANTÔME MARIUS

(intrigué) Mais qu'est-ce qu'on a ?.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Vous êtes malades ou quoi ?.

 

FANTÔME MARIUS

Non !. (intrigué) Pourquoi tu nous dis ça ?

 

FANTÔME FORTUNÉ

Hé bien, parce que je vous trouve blanc comme des linges, les mecs.

 

(Ils éclatent à nouveau tous de rire.)

 

FANTÔME ÉMILE

Allez viens t'asseoir !.

 

(Ils s'assoient autour de la table. le fantôme Fortuné est face au public.)

 

(reprenant son sérieux) Tu parlais d'un remplacement ? !.C'est toi alors, qu'on envoie pour remplacer Fernand ? !.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Dans le mille Émile !. Je suis un fantôme intérimaire. c'est l'agence Ghostpower qui m'envoie.

 

FANTÔME MARIUS

Et Fernand. il va bien ?

 

FANTÔME FORTUNÉ

Très bien. le patron l'a libéré. Si tout va bien, il redescendra sur terre dans quelques années.

 

FANTÔME ÉMILE

Quelle chance il a notre Fernand !.

 

FANTÔME MARIUS

Et nous aussi !. J'te dis pas ! C'était devenu un vrai boulet, ce Fernand. il ne faisait que geindre !. On n'entendait plus que lui, ici.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Hé vous les mecs, y a longtemps que vous êtes là ?.

 

FANTÔME ÉMILE

Six siècles pour moi.

 

FANTÔME MARIUS

Seulement quatre pour moi...

 

FANTÔME FORTUNÉ

Et vous avez pas envie de partir vous aussi ?.

 

FANTÔME ÉMILE

Je suis toujours attaché à ma femme.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Et elle est où ta femme.

 

FANTÔME ÉMILE

À la cave. je l'ai murée. Quand quelqu'un la trouvera et l'enterrera. je

serais enfin délivré. en attendant, je dois rester ici. c'est ma punition.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Et toi Émile ?.

 

FANTÔME ÉMILE

Moi, je suis attaché à mon or. je l'ai enterré dans l'oliveraie. tant qu'il n'est pas retrouvé . je dois rester ici. c'est mon châtiment.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Dites les gars. y a un truc qui m'intrigue. pourquoi vous avez autant de boulets et de chaînes attachés au pied ?

 

FANTÔME ÉMILE

On s'ennuyait tellement que Dieu, dans son immense bonté, a accédé à notre requête. il nous a installés la deuxième et la troisième chaîne.

 

(Ils éclatent de rire.)

 

FANTÔME MARIUS

Et si cette année, nous nous conduisons biens, il nous attachera tous ensemble avec une longue chaîne. comme ça on pourra jouer en réseau.

 

(Ils éclatent à nouveau de rire.)

 

(reprenant son sérieux) Dis donc, Fortuné, pourquoi t'as choisi de bosser en intérim ?

 

FANTÔME FORTUNÉ

Pourquoi ? !.

 

FANTÔME ÉMILE

Voui ! pourquoi ?.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Tout simplement parce que du fait de la précarité de l'emploi, j'ai de meilleures remises de peine. et donc au lieu d'expier pendant quatre siècles encore. je devrais être libre dans trois siècles seulement.

 

FANTÔME ÉMILE

(Sifflant) Quatre siècles encore. Hé ben dis donc !. Mais qu'est-ce que t'as fait, pour mériter ça !..

 

FANTÔME FORTUNÉ

J'ai tué ma femme !.

 

FANTÔME MARIUS

(enjoué) Toi aussi !. Ben, té !. Bienvenue au club !. Et te bile pas, vaï. si quelqu'un la retrouve et l'enterre. tu seras libre.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Ha ça !. Ca m'étonnerait bien !.

 

FANTÔME MARIUS

Pourquoi ?.

 

FANTÔME FORTUNÉ

Parce que je l'ai mangée. Vous comprenez, j'aimais beaucoup ma femme. Au fait il est comment le boulot ici ?

 

FANTÔME ÉMILE

Bah ! avec les 35 heures, on a moins de boulot, maintenant. c'est plutôt peinard . on assure juste une vacation, le soir, entre 22 heures et 3 heures du matin.

 

FANTÔME FORTUNÉ

C'est chouette, ça !. J'ai fait un remplacement en Écosse, il y a quelques temps . Hé bien, c'est l'esclavage là-bas. comme les propriétaires exploitent les châteaux hantés. il faut faire peur aux visiteurs. jour et nuit. Du coup, on s'est tous syndiqués. et nous avons créé le SOS.

 

FANTÔME MARIUS

(intrigué) le SOS? ? ?.Quès aco, le SOS ? ? ?

 

FANTÔME FORTUNÉ

Le Syndicat Ouvrier des Spectres. Après une grève de trois semaines où pas un fantôme n'a hanté le moindre château - ça, je peux vous dire qu'à notre tour, on les avait mis dans de beaux draps -.

 

(Tous les trois rient.)

 

.on a fini par obtenir des conditions de travail convenables.

 

FANTÔME MARIUS

Ben, nous ici aussi, on a créé un syndicat !.

 

FANTÔME FORTUNÉ

(intrigué) Ha oui ?. Et comment il s'appelle ?

 

FANTÔME MARIUS

(avec l'accent africain) L'AFRIC !.

 

FANTÔME FORTUNÉ

L'AFRIC ? ? ?.

 

FANTÔME MARIUS

Voui !. L'Amicale des Fantômes Rigolos et Incroyablement Couillons.

 

(Ils éclatent de rire. on entend faiblement une chouette ululer.)

 

FANTÔME ÉMILE

Chuuuuut ! ! !. Vous avez entendu ? ? ?

 

(Tous se taisent. il y a un silence puis on entend cette fois-ci très nettement une chouette, ululer.)

 

Allez les gars. C'est l'heure d'aller au boulot !.

 

(Ils se lèvent tous de table. et suivent en file indienne, en laissant leur boulets traîner, le fantôme Émile qui se dirige vers la coulisse de gauche. On entend très fortement des bruits de chaînes. des gémissements. le bruit des boulets qui roulent. Il n'y a plus personne sur scène)

 

FANTÔMES

(sur l'air de la chanson des sept nains) Hé ! Ho ! Hé ! Ho !. nous allons au boulot.

 

NOIR

 

(un gros bruit de chute en coulisse. et un grand cri.)

 

FANTÔME MARIUS

Putain ! qui c'est le couillon qu'a éteint la lumière ?

 

(un bref silence. puis le rire à la Eddie Murphy du fantôme Fortuné. et de tous.)

 

FIN

 

                            jean-louis


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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 21:19

   Date : Fri, 17 May 2002 22:19     

     De : jbouzou
  Objet : Re : Ben.... merci


Vive le grand, le mirifique Hérédias
Du cirque, peut être le futur as. ( Lodfred )

Réservons-lui un accueil des plus sensass'
ça mange pas d' pain d' lui cirer les godasses ( Ze Bath )

Sympa Ze bath, il tente la rime en "as"
Ca, Hérédias, c'est pas un accueil de garce (Lodfred)

Le CirqueZavatars, en effet, est une place
Où l'accueil n'est jamais trop dégueulasse ( Ze Bath )

Les gens n'y sont pas de givre ni de glace
Les rimes y fusent et laissent au large les limaces(Lodfred)


Hérédias, Cher Ami, bienvenue dans la classe
De la déconne, ici, jamais l'on ne se lasse
(zean-louis)

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 21:12

   Date : Fri, 17 May 2002 22:12   

     De : jbouzou
  Objet : Re ;: Auto acrostiche


Je suis crevé
Et c'est rien de le dire
Avec mon chat
Nous allons nous coucher

Lodfred, Ze à bientôt
Ou plutôt à demain
Une bonne nuit à vous
Il faut que j'y aille
Salut les potes !

zean-louis

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 21:05

   Date : Fri, 17 May 2002 22:05

     De :  jbouzou
  Objet : Re : Les loirs



Ô n'entends tu pas cette voix, Lodfred
quelqu'un m'appelle... Tiens ! c'est my bed !
Oui ! je crois qu'il est temps d'aller s'pieuter
Merci d'être un peu resté, Ha ! j'ai bien rigolé
Fais de beaux rêves...
Passe une bonne nuit
Moi, je fais aussi la trêve
et vers mon lit, m'enfuis.


zean-louis

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 20:59

  Date : Fri, 17 May 2002 21:59

     De : jbouzou
  Objet : Re : Aux loirs

Le loir est rare et donc... le loir est cher.

zean-louis (Fan de Michel Delpech)

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 20:59

   Date : Fri, 17 May 2002 21:59  

     De : lodfred

  Objet : Proverbe 3

 

On se disputait, se chamaillait par ici.

Deux bandes se guerroyaient pour un bout de mie.

L’une, pacifiste, armée d’une fleur cueillie

L’autre, armée de gros poings par eux mêmes bénis.

La victoire des derniers ne fît pas un pli.

Ce furent les belliqueux qui eurent la mie.

 

 

              Morale

                  « le gnon fait la force »

 

 

                                Lodfred.

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17 mai 2002 5 17 /05 /mai /2002 20:57

 Date : Fri, 17 May 2002 21:57     

     De : jbouzou
  Objet : Re : C'est n'importe quoi.


Bon, z'me rappelle pas si z'l'ai pas déjà passé çui-là...
Tant pis... bis repetita placent...

-----------------------------------------

            IL HAISSAIT

                     "La haine tue toujours, 
                     l'amour ne meurt jamais."
                     Gandhi


Il haïssait les caniches 
il haïssait les jeunes 
il haïssait les minijupes 
il haïssait les étrangers 
il haïssait les hommes politiques 
il haïssait les cravates fantaisie 
il haïssait les éclairs au chocolat 
... 
On l'entendait gueuler 
dix heures par jour. 
Un jour où il s’était déjà 
pas mal déchaîné
il oublia de prendre 
ses médicaments
pressé qu’il était de s'en prendre 
à un pauvre colporteur 
qui s'était introduit dans l'immeuble. 
Bien mal lui en prit
car il eut un coup de sang 
et mourut sur le champ. 

MORALITÉ  :
À chaque jour suffit sa haine. 


---------------------------------

Ze sait qu'c'est pas zaussi bon que du Lodfred...
mais z'y travaille M'sieur !... Z'vous zure !!!

> Et lodfred renaquissa de ces cendres
>Il n'est pas prêt le bougre à se rendre!
>Putain le talent paraît à l'instant le surprendre
>Voilà qu'il fait des rimes en "endre"


Il vaut mieux que ne paraisse son gendre
sinon au portemanteau, il va le pendre
tel que je le connais ça va le détendre
et à nouveau ce bougre-là va nous surprendre


zean-louis (tiens ! moi aussi !)

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