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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 20:34

De :  kleber1000

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  20:34

Objet :  Abécé guerre

 

Zibeline sur les épaules

Yeux verts et tragiques 

Xénophobes aux premières loges

Wanda était arrivée...

Visages fermés

Uniformes

Taillés

Scrutants 

Rudoyants....

Quelles

Personnes

Ou faits

Notaient 

Maintenant

Les

Kapos ?

Jumeaux

Irascibles!

Hommes

Guettant la 

Foule

En

Deux ou trois

Coups d'oeil

Bestialement 

Allumés

 

Bisous

Michèle 

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 20:34

De :  Ecorce

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  20:34

Objet :  [CirqueZavatars] Tatouage

 

le tatouage 

en haut de la fesse 

l'endroit caché 

que l'autre dévisage 

sa faiblesse 

comme autant de courage 

qui dit que rien ne blesse 

le maillage 

que jamais ne cesse 

le liage 

l'amarrage 

comme un cordage 

en torsades de caresses 

amour sans détresse 

sans égard pour l'âge 

sauf celui de la tendresse 

le signe du lignage 

les armoiries de nos pages 

secrètes en tresses 

au point de raccomodage 

pas à pas le marquage 

en gage 

du rencontrage 

en dehors des messes 

juste l'ivresse 

de l'appartenage.. 

le fer sur les corps 

en lettres d'or 

brillance des sentiments 

bloqués derriere les dents 

calligraphie de la peau 

en ultime oripeau 

quand ce qui parfois est dit 

peut être écrit 

inscrusté tatoué 

à jamais.. 


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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 17:16

De : Epicurienne

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  17:16

Objet :  Lui..

 

Lui,

 

J'ai ce besoin étrange de vous parler de lui

de vous confier mes peurs, de vous offrir ces nuits

de permettre à mon coeur de chasser les tourments

et pouvoir oublier son absence un moment.

 

Comment vous exprimer ce sentiment si doux

qui me berce et qui me caresse la joue

ses mots tendres, ses paroles rassurantes

ses gestes amoureux, ses envies troublantes

 

La distance qui est installée entre nous

attise et défie les désirs les plus fous

une larme séchée par une main dévouée

un regard partagé, un instant de gaieté

 

Dans ses bras, tous ces sentiments cachés en moi

se sont éveilles et ont su trouver la foi

il a fait de moi une femme épanouie

qui vit libérée de ces angoisses enfouies

 

Il est celui que j'attendais secrètement

je lui dédie ses mots amoureusement

que chaque minute passée auprès de lui

demeure en mon âme et brille en ses nuits

 

Bisous

Audrey

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 14:22

De : Rolland

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  14:22

Objet :  Toujours des mots d'amour - Pardon il y avait une erreur ...

 

  Toujours des mots d'amour

 

  --------------------------

 

  Amour, toujours, deux mots qui sonnent bien ensemble,

  Ainsi armée, la flèche de Cupidon tremble

  Et rate encor la cible de l'éternité.

  Pourtant les amoureux ne sont pas dépités

  Ils remettent cent fois l'archer sur le mètier

  En chantant: "tire, vise nous bien par pitié!".

 

  A vous qui insistez et faites tant d'efforts 

  Je vous souhaite bien sûr d'arriver à bon port,

  Pour cela je vous envoie fleurs et mots d'amours

  Qui soyez en sûr riment bien avec toujours.

 

  A force d'indigestions, les pommes d'amours

  N'ont plus d'attraits pour moi, non tous ces petits fours

  M'ont refroidit, et je traine mon mal de vivre,

  Mais au fond de moi je rêve de bateaux ivres. . .

  Alors seul dans mon pieu je dors comme un sourd

  Esperant que ce ne sera pas pour. . . toujours.

 

  Copyright © 2001 Rolland Pauzin. 27-11-2001 - 

 

Amities,

Rolland

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 12:27

De : JMF

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  12:27

Objet :  Chinoiserie d'exil

 

Après celui-ci, je crois que je vais me rabattre sur le monorime. 

Celui d'Audrey, en -teur, m'a rappelé les Keystone Cops de Mack 

Sennett (on a même l'impression que le texte a été écrit en 16 

images / seconde, c'est tout dire)...

 

CHINOISERIE D'EXIL (zyxwédaire monologué dans lequel il est pris 

quelques libertés avec la géographie, la langue, et j'en passe...)

 

Zaporogue cosaque au cheval traînant une

yourte, je, vieux guerrier, traîne mon infortune.

Xing Qiang, voilà l'endroit où je dois m'installer.

Wu ? Drôle de langue, vraiment dure à parler,

vous me direz, quoique j'en sache de moins drôles...

Une fois sur place, je vends mes casseroles,

toi, mon cheval, ma yourte et quelques bibelots.

Saloperie d'exil ! Et puis, pour un boulot,

ratisser les canards, c'est pas la mince affaire !

Quelle étrange contrée ! Tiens, quelques conifères...

Putain, fait soif, aussi ! C'est quoi, l'arak local ?

Oh ! mais c'est pas dégueu, ça se liche au bocal !

N'empêche que c'est fort, ça donne envie de boire...

Mais soyons prudents, attention aux déboires,

les flics rigolent pas, surtout avec un ch'val

kalmouk en pleine ville : y a pas moins banal.

Je rince mon glasse, puis bougeons-nous les burnes :

Il faut encor trouver le paddock et la turne.

Hôtel du "Mandarin Rééduqué Correct" :

grande table d'hôte, c'est pas cher, c'est sélect,

foin pour votre dada, avoine et eau potable

et, pour le voyageur, la natte est confortable;

déjeuner à toute heur', mais il faut se magner

car, ici, pour briffer, ils sont pas les derniers;

bains chauds, bière de riz, coiffeur et vermicelle

à volonté, vaccin contre la varicelle.

 

---------

 

Ouais, ben, ça vaut pas Cendrars...

 

JMF.

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 12:25

1426

 

De :  kleber1000

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  12:25

Objet :  Détournement canin 

 

MILORD

paroles: Georges Moustaki

musique: Marguerite Monnot

 

Allez! venez, Milord

Vous asseoir à ma table 

Il fait si froid dehors 

Ici, c'est confortable  

Laissez-vous faire, Milord

Et prenez bien vos aises

Vos peines sur mon coeur    

Et vos pieds sur une chaise 

Je vous connais, Milord     

Vous ne m'avez jamais vue   

Je ne suis qu'une fille du port     

Une ombre de la rue...          

 

Pourtant, je vous ai frôlé          

Quand vous passiez hier         

Vous n'étiez pas peu fier           

Dame! le ciel vous comblait         

Votre foulard de soie               

Flottant sur vos épaules                

Vous aviez le beau rôle             

On aurait dit le roi                            

Vous marchiez en vainqueur          

Au bras d'une demoiselle            

Mon Dieu! qu'elle était belle           

J'en ai froid dans le coeur...          

 

Allez! venez, Milord                    

Vous asseoir à ma table             

Il fait si froid dehors                 

Ici, c'est confortable                  

Laissez-vous faire, Milord          

Et prenez bien vos aises            

Vos peines sur mon coeur            

Et vos pieds sur une chaise         

Je vous connais, Milord             

Vous ne m'avez jamais vue           

Je ne suis qu'une fille du port     

Une ombre de la rue...              

 

Dire qu'il suffit parfois               

Qu'il y ait un navire                   

Pour que tout se déchire            

Quand le navire s'en va             

Il emmenait avec lui                    

La douce aux yeux si tendres        

Qui n'a pas su comprendre           

Qu'elle brisait votre vie               

L'amour, ça fait pleurer                

Comme quoi l'existence              

Ça vous donne toutes les chances    

Pour les reprendre après...         

 

Allez! venez, Milord                    

Vous avez l'air d'un môme           

Laissez-vous faire, Milord          

Venez dans mon royaume          

Je soigne les remords               

Je chante la romance                

Je chante les milords               

Qui n'ont pas eu de chance          

Regardez-moi, Milord                

Vous ne m'avez jamais vue...        

Mais vous pleurez, Milord           

Ça, j' l'aurais jamais cru!             

 

(mi-récité, mi-chanté)

Eh! bien voyons, Milord             

Souriez-moi, Milord                 

Mieux que ça, un p'tit effort...        

Voilà, c'est ça!                        

Allez! riez, Milord                 

Allez! chantez, Milord              

Ta da da da...                      

 

Mais oui, dansez, Milord            

Ta da da da...                      

 

Bravo! Milord...                        

 

Encore, Milord...                   

 

+.+.+.+.+.+.+.+.+.+.+

 

Médor

Parole, Michèle Avachie 

Musique Michèle Costaud. 

 

 

Allez! prom'ner Médor

Le temps est détestable

Mais t'es un labrador

Sors donc de d'sous la table

Ya le boxer, Médor

Qui va ram'ner sa fraise

Si t'es pas par bonheur 

Au coin d'la rue Sanchez

T'as décidé Médor

Les pipis dans la rue 

Mem' dans la nuit tu sors

Et longe la grand'rue. 

 

La caniche a frisé

Ses pattes de derrière

Le toiletteur est fier

Il ne l'a pas rasée

Quand son batard aboie

Mordant tout' les épaules

Y'aurait b'soin d'une torgnole

Et qu'on lui casse les noix     

Il bouffait à cinq heures

En bas d'la rue grenelle

Bon Dieu! les coccinelles

En avaient mal au coeur

 

Allez prom'ner Médor

Vient pisser sur l'érable

T'as pas envie d'accord

De bouger d'sous la table

Laisses toi faire, Médor

Sans bousculer la chaise

En prenant l'ascenseur

Nos pieds s'ront plus à l'aise

Je te connais Médor

Quand tu s'ras dans la rue

Tu vas filer dehors

Reniffler les laitues....

 

Pire il suffit parfois 

D'un mollet qui se tire

Pour que tu le déchires

En mordant dans les bas

Alors on pousse un cri

Pour bien me faire comprendre

Que le clébar va prendre

Un bon coup de fusil

Les sourds sont ameutés

Et j'ai la contredence

A casquer de toute urgence

Autrement majoré........

 

Allez! prom'ner Médor

Cet' fois on met la gomme

T'es un beau labrador

Me pince pas trop la paume 

Je soigne quand tu mords

Je panse les souffrances

Je suis le Constructor

Qui reprise les panses

Regarde-moi médor

De tes yeux de tortue

T'as l'air d'un coffre fort

Qu'ya perdu ses écus. 

 

Eh ! bien voyons, Médor

Tu vas sauter Médor

Mieux que ça, encore plus fort

Voilà, c'est ça

Allez le beau Médor

Allez sauter Médor

Ta da da da...                      

 

Mais oui t'es beau Médor

Ta da da da....

 

Bravo! Médor

 

Encore, Médor

 

Bisous

Michèle 

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 11:29

De :  kleber1000

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  11:29

Objet :  Arabesque

 

Mon coeur joue du tam tam 

De sa musique intime 

Il t'écrirait des tomes

De livres d'amertume

Ou tu lirais je t'aime

 

Bisous

Michèle 

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 10:56

De : Rolland

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  10:56

Objet :  Poeme - Toujours des mots d'amour ---- Un peu d'humour sur l'amour de toujours

 

  Toujours des mots d'amour

 

  --------------------------

 

  Amour, toujours, deux mots qui sonnent bien ensemble,

  Ainsi armée, la flèche de Cupidon tremble

  Et rate encor la cible de l'éternité.

  Pourtant les amoureux ne sont pas dépités

  Ils remettent l'archiste sur le mètier

  En chantant: "tire, vise nous par pitié!".

 

  A vous qui insistez et faites tant d'efforts

  Je vous souhaite bien sûr d'arriver à bon port,

  Pour cela je vous envoie fleurs et mots d'amours

  Qui soyez en sûr riment bien avec toujours.

 

  A force d'indigestions, les pommes d'amours

  N'ont plus d'attraits pour moi, non tous ces petits fours

  M'ont refroidit et je traine mon mal de vivre,

  Mais au fond de moi je rêve de bateaux ivres,

  Alors seul dans mon pieu je dors comme un sourd

  Espérant que ce ne sera pas pour. . . toujours.

 

  Copyright © 2001 Rolland Pauzin. 27-11-2001 - 

 

Amities,

Rolland

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 06:52

De : Epicurienne

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  6:52

Objet :  le mono rit menteur

 

Un autre monorime, ouh la la va falloir faire quelquechose je sombre dans mes 

délires!!!

 

manu l' mono menteur

mania avec lenteur

la ram' du caboteur

qu'y est nul c' moniteur!!

 

manu prit donc l'tracteur

mais il noya le moteur

on va rater le facteur

sans connaitre l'auteur

 

s'improvisant chanteur

demanda au pasteur

de nous conduire asteurr

 

allez chez l'brocanteur

ou chez l'instituteur

vous prêteront leur scooteur

 

ils arriveraient ptête plus vite après quelques planteurs ??

(quelle chute !!!)

 

Audrey

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27 novembre 2001 2 27 /11 /novembre /2001 06:24

De : Lebatailleur

Date :  Mardi 27, Novembre 2001  6:24

Objet :  Rep:[CirqueZavatars] la_folie_béabasque

 

Ze Bath Leurre

> à qui le tour ?

 

Bon, j'm'y colle :

 

Je marchais d'un sacré pas

Sur mes semelles de crèpe

M'égratignant au crépi

Pour sentir son âcre peau

Et mordr' ses cheveux crépus.

 

Lebatailleur

 

Coucou Jean-Pierre C.

Pas réussi à placer un sacré pain

Mais j'réssayerai, vieux sacripant !

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